A chacun sa mission

Bien chers amis en Jésus et Marie,
Dans ce message, Jean assure que Dieu ne nous présentera pas un programme, ne nous définira pas une mission, mais nous dira tout simplement : « Toi, suis-moi ». Ainsi, c'est selon nos dons, que nous avons à donner et à agir pleinement pour le bien de notre prochain tout comme nous le ressentons dans notre cœur, c’est ce que le Seigneur demande à chacun de nous. 
Avec toute notre affection et en union de prières
Yvette et Robert (31.03.2014)

Livre Tome 6 : En route vers la Jérusalem céleste
Page 124 :  A chacun sa mission (Message du 13 mars 2006)

" Dans la vie de tous les jours penchez-vous sur votre prochain. Votre vie d’homme et encore plus celle de chrétien est d’aimer votre prochain et l’aimer sans restriction, sans condition de race ni de culture, ni de religion et encore mieux aimer ceux qui sont les plus démunis autant matériellement que spirituellement. Et quand le démon vous présente parmi ses armes celle de l’argent ou celle du doute, vous avez surtout à faire la sourde oreille. Oui, aimer son prochain est la mission de chacun de vous.

 Mais un jour, Jésus peut s’adresser personnellement à vous pour changer de cap et cela, au moment où vous ne vous y attendez pas, tout comme il s’adresse à des hommes et femmes appelés à être religieux, religieuses ou encore prêtres.  
Dieu ne vous présentera pas un programme, il ne vous définira pas une mission mais tout simplement, il vous invitera à le suivre : « Toi, suis-moi ! » Ces paroles de Jésus ne se sont pas adressées seulement à Ses disciples, mais en fait, elles sont pour vous tous, qui ainsi devenez disciples du Seigneur.
Oui, chacun de vous est disciple du Seigneur. Avoir une mission spécifique est un cadeau du Ciel : vous recevrez, mais vous aurez encore plus à donner. Cela demande de la bonne volonté, du courage et de la constance, car vous ne serez pas toujours compris, vous serez même combattus et vous aurez à vous couper du monde. Et comme Jésus, vous subirez des désagréments et serez même trahis. 
 Tout comme Pierre et Jean, amis du Seigneur, chacun de vous a un destin différent : Pierre, berger du troupeau, a été préservé d’une longue vie pour mourir tragiquement sous Néron ; au contraire Jean a été le témoin de Jésus dans la durée, il a eu à transmettre la flamme de la Révélation aux deux générations suivantes.
Dans votre cheminement n’enviez pas ceux qui ont un rôle de « locomotive », vous n’avez pas à regarder autour de vous, à droite ou à gauche, pour moduler votre réponse à Dieu. Chacun de vous doit donner comme il le ressent dans son cœur. Vous n’avez pas à prévoir et encore moins à mesurer ce que Dieu demande aux autres. Vous avez à pénétrer au plus profond de votre cœur pour comprendre que vous aussi, vous avez quelque chose de bien à faire selon vos possibilités. L’essentiel, pour chacun de vous, est de ne pas mettre de limites à votre propre réponse, car vous ne pouvez rester insensible à tout ce qui se passe autour de vous.
Le sérieux ou la misère de votre engagement et de votre réponse à Jésus est finalement une affaire personnelle : c’est le test de votre amour pour lui, et vous ne pouvez ni vous en remettre paresseusement à la fidélité des autres, ni tirer un alibi de vos propres faiblesses.
 Vous êtes toujours tentés, et c’est humain, de lire votre vie dans le miroir des autres ou de lire leur vie au miroir de votre propre ressenti. Jésus alors, pour votre bien, doucement, vous confisquera le miroir...
 Le Christ est une source de salut pour tous ceux qui Lui obéissent. Vous êtes appelés à Lui obéir, tout comme Il a lui-même obéi au Père, de la même manière radicale, par une remise totale de tout votre être entre Ses mains. Et comment pouvez vous apprendre l’obéissance si ce n’est comme Il l’a fait Lui-même, c’est-à-dire à travers la souffrance ?
 Méditez le sens de cette petite phrase énigmatique, que vous retrouvez souvent dans l’Evangile sous des formes légèrement différentes : « Celui qui aime sa vie la perdra, celui qui perd sa vie en ce monde la sauve pour la vie éternelle. »
Sauver sa vie veut dire y tenir, s’y accrocher par peur de la mort. 
Perdre la vie veut dire : lâcher prise, se détacher, accepter de mourir. 
Le paradoxe est que celui qui craint la mort est déjà mort, alors que celui qui n’a plus peur de la mort a déjà commencé à vivre en plénitude. 
Méditez bien cet enseignement et vivez en plénitude votre vie de chrétien.

 Jean, Messager de la Lumière"

La Sainte Famille ....

Bien chers amis en Jésus et Marie,
 Comme le dit Jean, à l’exemple de la Sainte Famille, la famille doit être une communauté où se partagent les joies et les peines, l’amour et surtout où est engendrée la vie. Cette vie qui est le plus grand don que nous recevons de Dieu. 
 Avec toute notre affection et en union de prières
Yvette et Robert (24.03.2014)

 Tome 7 : Pour bien passer la porte du Ciel. 
 Page 67 : La Sainte Famille  (Message du 29 décembre 2007)

 Catéchisme de l’Église catholique n°1784 : L’éducation de la conscience est une tâche de toute la vie. Dès les premières années, elle éveille l’enfant à la connaissance et à la pratique de la loi intérieure reconnue par la conscience morale. Une éducation prudente enseigne la vertu; elle préserve ou guérit de la peur, de l’égoïsme et de l’orgueil, des ressentiments, de la culpabilité et des mouvements de complaisance, nés de la faiblesse et des fautes humaines. L’éducation de la conscience garantit la liberté et engendre la paix du cœur. 

"Si toutes les familles du monde étaient semblables à celle de Jésus, Marie et Joseph, soyez certains que dans le monde régneraient la paix et la joie ! L’amour devrait exister dans tous les foyers, hélas ce n’est pas le cas ; aussi le monde connaît-il aujourd’hui tant de souffrance et si peu de bonheur.
 Pensez aux parents de Jésus qui ne comprennent pas son échappée, en souffrent mais espèrent et finissent par retrouver leur fils au milieu des docteurs de la Loi. Ils l’avaient certes perdu physiquement, mais également sur le plan de la pensée, et ils n’ont pas compris sur le moment ses explications. Comme les Saints Epoux, vous, c’est-à-dire tous les parents, vous ne comprenez pas toujours vos enfants...
Alors, comment pouvez-vous comprendre Dieu ?
  A tous, comme à Marie et Joseph, il arrive parfois d’être perdus, d’hésiter et même de perdre patience. Mais tout comme eux, vous continuez à espérer. Et cette espérance est le fruit de l’amour.
 Dans toutes vos difficultés ou quand tout semble aller mal, c’est à l’amour de Dieu, de Marie, de vos saints que vous devez penser, et faire appel à eux dans ces moments difficiles. Quand vous êtes désemparés, c’est l’amour qui vous permet d’espérer que tout s’arrangera suivant le plan de Dieu. 
Ce n’est pas une attitude d’attente ou de passivité, mais un engagement quotidien que vous devez donner par votre exemple, par votre ouverture d’esprit, par la prière et la fréquentation des saintes Messes. 
La route que vous suivez est rarement droite et plane. Dans certains cas, il peut vous être difficile d’être réceptifs à l’amour de votre conjoint, de vos enfants et encore plus à l’amour de Dieu.
Petites ou grandes, les épreuves sont le lot de la vie familiale; les journées et même les nuits peuvent parfois être épuisantes. Les familles sont appelées un jour ou l’autre à vivre des événements éprouvants comme la mésentente, la maladie ou le deuil.
Dans la famille, il y a fort heureusement des événements plus émouvants et plus joyeux. Ces événements peuvent être délicats et subtils ou encore de grande importance, cela peut être ce Noël que vous venez de fêter, un anniversaire, un baptême, un mariage et même les vacances, qui sont des occasions d’exprimer votre amour ....
La famille est le commencement réel de la construction du Royaume de Dieu : c’est une communauté où vous pouvez vivre et partager les joies et les peines, partager l’amour et surtout donner la vie. Car donner la vie est le plus grand don que vous ayez reçu de Dieu.
 Gardez à l’esprit que vos enfants vous sont confiés, et ne sont d’aucune manière votre propriété. Il est certain que vous leur donnez totalement votre amour, mais vous ne pouvez leur donner vos pensées. Chaque enfant a sa propre personnalité et sa liberté de pensée, il n’est nullement un robot. Ainsi tout en faisant partie de la famille, vos enfants gardent leur liberté.

 Dans le mariage, c’est l’autre que vous préférez à vous-même en acceptant sa différence et sa liberté. C’est ce même principe qui doit vous guider dans votre vie à l’égard de vos enfants. Soyez clairs, les enfants ne demandent que de la simplicité et de l’amour. 
Votre vie doit être un exemple et c’est ainsi que vos enfants arriveront à voir en vous l’Eglise, surtout si vous réalisez avec cœur tout ce que vous entreprenez de bien. Il est aussi de votre responsabilité, de leur transmettre ou de leur rappeler l’éducation religieuse afin qu’ils constituent l’Eglise de demain. 
Dans votre existence avez-vous été toujours exemplaires ?

 Jean, votre messager d’amour"

Soyez lumière ...

Bien chers amis en Jésus et Marie,
Comme le dit Jean, c'est en restant à l’écoute de la Parole de Dieu et en la mettant en pratique que nous devenons des êtres transfigurés et transformés donc des saints. 
 Avec toute notre affection et en union de prières
 Yvette et Robert     (le 17.03.2014)

Tome 6 : En route vers la Jérusalem céleste
 Page 61 : Soyez lumière  -  Message du 23 juillet 2005

" Devant le mal et la souffrance, surtout quand ils touchent des enfants, les hommes arrivent à douter de l’existence de Dieu. Posez-vous la question suivante : Jésus, qui est-Il pour moi ? Même à vous chrétiens, ne vous arrive-t-il pas également, parfois, de douter de Sa présence et même de Son amour ?
 Dans vos rencontres vous trouverez des gens qui se diront chrétiens mais non pratiquants. Demandez-leur de préciser leur pensée, ils vous diront : « Mais je crois en Dieu ! » Pensez que cette croyance-là n’est pas forcément chrétienne. Sans être pour autant chrétiens, les juifs, les musulmans et la plupart des hommes croient en Dieu.

 La vraie foi chrétienne n’est pas de penser que Dieu existe, mais bien d’assurer que la gloire de Dieu est sur le visage d’un homme en chair et en os qui s’appelle Jésus !
C’est en Jésus que Dieu marche sur vos routes, qu’Il est avec vous, qu’Il est en vous pour éclairer votre route à condition que vous le vouliez bien ...
  La vie des hommes prend un sens avec l’amitié, l’amour, le savoir, le perfectionnement et la justice. Par contre, méditez sur un enfant qui est atteint d’un cancer et qui va mourir, méditez sur l’extermination de populations qui rejettent de la vie tant de monde et vous resterez perplexes. Mais sachez que pour comprendre le plan de Dieu vous ne possédez pas tous les éléments.
Votre avenir n’est-ce pas l’éternité ?

 Vous devez bien comprendre qu’aussi vulnérable qu’il soit, l’homme n’est pas fait pour finir dans un trou en terre, mais pour être transfiguré en Dieu. Par votre baptême vous êtes destinés à la vie de Jésus ressuscité ...
Par la transfiguration de Jésus, les apôtres ont pris conscience de Sa véritable identité. Pour vous également, la transfiguration du Seigneur est un appel à rallumer, au fil des jours, votre foi, votre espérance et votre amour. 
  La transfiguration certifie l’amour personnel du Seigneur pour chacun et chacune de vous. Ainsi vous êtes appelés à perpétrer le projet de Dieu, dans l’Eglise et dans le monde, en restant à l’écoute de la Parole de Dieu pour devenir des êtres transfigurés, transformés.

 Pensez-vous être lumière ou ténèbres pour les autres ?
Pour être dans la véritable lumière il s’agit de témoigner de votre foi d’espérance et d’amour envers le Seigneur et d’être charitable envers les autres, surtout envers les plus démunis et même envers ceux qui sont les plus désagréables. 

 Il vous appartient de vivre comme un sacrement chaque moment de votre existence par une parole, un geste, un sourire qui attestent la présence de Dieu.
Tout doit être au plus profond de votre être l’occasion de rencontrer Dieu : par votre naissance, votre éveil à la vie spirituelle, par la prise de conscience qui est ancrée en vous, par la rencontre avec l’amour, par la confrontation avec la maladie, la vieillesse, voire la mort ...

Jean, messager de la Lumière"

Le Carême

A Noter : Prochain pèlerinage à l'intention des âmes du purgatoire du 9 au 11 novembre 2014 - voir rubrique Pélerinage - Conférence ***************************************************************************  
Bien chers amis en Jésus et Marie,
Comme l'exprime si bien Jean dans ce message, la prière, le jeûne et l’aumône qui étaient pratiqués au temps de Jésus restent d’actualité. Ces trois pratiques nous invitent à vivre un Carême exemplaire afin que toute rencontre devienne positive.
 Affectueusement et en union de prières
 Yvette et Robert  (10.03.2014)

Tome 7 : Pour bien passer la porte du Ciel 
Page 164 : Le temps de Carême, servir Dieu  (Message du 3 mars 2009).

  Première épître de saint Jean 3,16-18: "A ceci nous avons connu l’Amour : celui-là a donné sa vie pour nous. Et nous devons, nous aussi, donner notre vie pour nos frères. Si quelqu’un, jouissant des biens de ce monde, voit son frère dans la nécessité et lui ferme ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeurerait-il en lui ? Petits enfants, n’aimons ni de mots ni de langue, mais en actes et en vérité."

" En randonnée, que ce soit en forêt ou en montagne, pour ne pas vous perdre, une boussole vous est nécessaire. De même, durant le Carême, vous allez vous mettre en route avec une boussole qui représente toute votre volonté de rejoindre le Seigneur Jésus, le Christ, qui vient pour vous, qui vient pour chacun d’entre vous ...
Vous êtes invités à vivre cette marche à la fois personnelle et, dans la vie, les uns avec les autres.
A quelle rencontre, à quel temps fort allez-vous participer ?
Dans quel groupe ?
 A côté de cette démarche en communauté chrétienne, la marche du Carême est surtout personnelle. Ainsi vous entrez dans une période où vous allez suivre les dernières étapes de la vie de Jésus.  Le Carême est ce temps qui vous demande de prendre du recul, afin de mieux vous centrer sur l’essentiel et cela en priant, en partageant, en jeûnant pour réveiller votre faim de Dieu.

La première des choses à faire est de quitter vos désirs, vos besoins, vos projets, vos intérêts ; en un mot, toutes ces préoccupations et soucis qui vous empêchent d’être entièrement disponibles pour les autres. Les autres, vous les croisez, mais vous êtes accaparés et pris par autre chose et vous ne savez pas les entendre et vous ne les écoutez pas...
Pour être disponibles, pour être à l’écoute, pour être accueillants, il y a donc un espace à libérer. Jésus, Fils de Dieu, a été poussé par l’Esprit au désert, Il a été tenté par Satan ; et vous aussi, vous vous trouvez dans la position de l’homme au désert, tenté par Satan et face à l’Éternel !
Vous qui vous plaignez d’être contraints de vivre dans une tentation permanente, pensez que toute la vie de Jésus a été une bien longue tentation. Des hommes se sont affrontés : les pharisiens et sadducéens ont cherché à Le tenter, en Lui posant des questions sournoises afin de Le discréditer. Ses disciples eux-mêmes, qui ne comprenaient pas toujours Son enseignement, voulaient Le détourner de Sa voie tragique.
 C’est au long d’une vie parsemée de toutes sortes de tentations que Jésus vous enseigne à vivre la priorité du service de Dieu. Sur votre route, laissez-vous rejoindre par le Christ ; Il ne vous demande pas d’être parfaits, mais de L’accueillir, Lui qui conduit toute chose à son achèvement...
 Pour participer pleinement à ce temps de Carême, il y a la prière, le jeûne et l’aumône. Ces pratiques, proposées au temps de Jésus, sont toujours d’actualité et il existe un lien profond entre elles, qu’il est important de prendre en compte.
Ces trois pratiques vous invitent à dégager un espace dans vos vies, à faire le vide, pour que la rencontre avec l’autre soit positive.   
Servir Dieu et non se servir de Dieu, L’adorer et vous laisser imprégner de Sa présence, pour être encore plus présents les uns aux autres.
 Êtes-vous suffisamment de bonne volonté et hardis pour demander humblement un service à quelqu’un que vous pensez être votre ennemi, suffisamment hardis pour bouleverser complètement la relation entre l’homme et la femme par une nouvelle vision faite de respect et d’estime ?
Dieu n’est pas lié à un lieu, Dieu est Esprit. 
Vous Le trouvez d’abord en vous.
 Il est toujours là pour vous aider.
 Dieu vous invite à la conversion.
 La condition de la vie humaine est si fragile qu’il est essentiel que chacun de vous veille sur sa propre conduite, en évitant de faire le mal. Courez vers la Pâque désormais proche ...

Jean, votre messager d’Amour"

L'onction des malades


 A Noter :
Prochain pèlerinage à l'intention des âmes du purgatoire 
du 9 au 11 novembre 2014 - voir rubrique Pélerinage - Conférence

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Bien chers amis en Jésus et Marie,
Par ce message Jean s'adresse à tous les fidèles en particulier à ceux qui sont atteints par la maladie ou la vieillesse.
Affectueusement et en union de prières
Yvette et Robert   (03.03.2014)

Tome 6 : En route vers la Jérusalem céleste
Page 184 : L’onction des malades.

 Message du 30 septembre 2006 :

"Au cours de sa vie terrestre, Jésus a toujours manifesté beaucoup d’amour aux hommes, mais c’est en priorité aux pauvres et aux malades qu’Il annonçait le message du salut. Il manifestait toute sa sollicitude en guérissant certains d’entre eux. Vous comprenez bien que, retourné près du Père, Jésus ne vous abandonne pas ! Ainsi, par les sacrements de l’Eucharistie, de la Réconciliation et de l’Onction des malades, Il vient à vous par le ministère des prêtres.

 L’imposition des mains est le geste que faisait le Christ quand on lui amenait des malades. C’est le geste que les apôtres ont repris à leur tour. En ce qui concerne l’onction d’huile, représentez-vous le bon Samaritain qui a pansé les plaies du blessé en y versant de l’huile.
Les apôtres faisaient des onctions d’huile à de nombreux malades et les guérissaient.
L’onction d’huile est un signe de guérison de l’être tout entier, un remède d’immortalité de la part de Celui qui est venu pour guérir et sauver tous les hommes.

Ce n’est pas dans la crainte que vous avez à recevoir tout sacrement, mais avec un esprit joyeux et serein, car c’est une rencontre avec Jésus qui vous manifeste l’immense amour que Dieu a pour vous.
Non, ce sacrement n’est pas un « laissez-passer » pour l’âme, mais une grâce essentielle pour aider ceux qui souffrent. Qui n’est pas malade un tant soit peu ? Aussi le sacrement peut être donné à ceux de santé fragile ou d’un âge avancé, à ceux qui doivent subir une opération délicate, qui ont une dépression nerveuse et même il peut être administré à nouveau à chaque état inquiétant.
 L’onction des malades est une aide pour toute maladie physique ou psychologique; à celui qui déprime, elle donne la grâce de la sérénité, de la lumière, et l’équilibre nécessaire pour affronter la maladie.
  Vous êtes comparables à des cierges allumés devant l’autel de Dieu, parce que en tant que malade physique et psychologique, vous êtes les plus proches du Seigneur. Oui, vous qui souffrez êtes bien plus près de Jésus que ceux qui ne souffrent pas.
Jésus a bien dit : «Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et qui peinez sous le fardeau et Je vous donnerai du repos.»
  Autant dans le sacrement de Réconciliation que dans celui des malades, c’est une merveilleuse et sublime mission que le prêtre accomplit envers ceux qui, choisis par Dieu, offrent leurs journées, leurs souffrances et leurs prières ...
  L’Onction des malades génère la grâce d’être uni au Seigneur et la force de pouvoir supporter maladies et souffrances. Certes, la souffrance fait peur mais vous ne pouvez ignorer que le Seigneur aussi en a fait l’expérience, c’est pourquoi Il vient à la rencontre des malades, se mettant à leur côté.

 En résumé, chaque fois que vous recevez un sacrement, vous croisez, vous rencontrez le Christ, le Christ bien vivant. C’est à cet instant précis que vous vous sentez aimés par le Christ, parce qu’Il se tourne personnellement vers chacun de vous. Au moment où vous recevez l’Onction des malades, le Christ, dans la personne du prêtre, s’approche de chacun de vous avec amour, respect et estime. Cette grâce inondera votre âme, un lot de bénédictions renforcera votre foi, une lumière profonde entrera dans votre cœur, vous illuminera et vous accompagnera dans tout le temps que Dieu a fixé pour chacun de vous. Et Jésus s’incline vers chacun de vous, vous embrasse et s’émeut ... 

Tous les sacrements doivent être aimés, car ils sont une conséquence exprimée de la Passion et de la mort du Christ, c’est pour cette raison que l’onction des malades doit être également vue sous ce jour. 

 Jean messager d'Espérance"

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Rappel :  Dernier message : Choisissez la vie - 11.09.2013 -  http://jeanmessagerdelalumiere.blogspot.fr/2013/09/choisissez-la-vie-11092013.html
  "Il est à noter que par les messages qui ont été diffusés tout a été dit plusieurs fois, Jean nous demande, qu'à compter de ce jour (11.09.2013), nous reprenions les messages anciens, en précisant leur date d'émission. Ils pourront correspondre aux différents évènements... Ces envois seront hebdomadaires et bien évidemment mis sur le site internet."

 Robert et Yvette

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