Baptême de Jésus

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 Les messages de Jean messager de la Lumière étant traduits en plusieurs langues, nous serions intéressés de connaitre votre point de vue et en conséquence recevoir votre témoignage. A cet effet, veuillez adresser un e-mail en français (s'il vous plait...) à : carayon.robert@orange.fr ou bien laisser un commentaire dans la rubrique Livre d'Or, Commentaires - dans ce cas aller en bas de page sur Enregistrer un commentaire - MERCI ******************************************************************


 Bien chers amis en Jésus et Marie,
Comme Jean le précise bien, en s'inclinant devant Jean-Baptiste, Jésus s'est soumis au rite de purification, ainsi il s'est identifié à son peuple en s’alignant avec les nécessiteux et les humbles qui ont pris conscience de leurs péchés. 
Avec toute notre affection et en union de prières
Yvette et Robert

 Livre Tome 4 : Le temps presse, rallumez vos lampes
 Page 46 : Le Baptême de Jésus - Message du 11.01.2004 - Rediffusion

Le jour de votre baptême, alors que vous étiez tout petits, le Seigneur vous a appelés par votre nom et Il vous a dit : « Marie, Jacques, Etienne, Pierre ...  viens avec Moi car tu as du prix à mes yeux et Je t’aime ».
Cette parole de Dieu est ancrée en vous depuis la première fois que vous l’avez entendue, même si vous n’en étiez pas conscients.
Situé sur le chemin des caravanes, c’est au bord du Jourdain que Jean le Baptiste prêchait.

Ainsi il offrait un baptême de purification aux gens qui étaient prêts à changer de vie.
Beaucoup de voyageurs le connaissaient et s’arrêtaient quand ils passaient pour se reposer, l’écouter et se faire baptiser.
En venant s’incliner devant son précurseur, un homme de Nazareth, appelé Jésus, s’est soumis au rite de purification...
 C’est de cette manière que Jésus s’identifie à son peuple, en s’alignant avec les nécessiteux, les humbles qui se rendent compte de leurs péchés et qui veulent se convertir. Sa démarche proclame dans l’humilité qu’Il est un pauvre parmi eux, pour eux ; et avec eux Il se tourne vers Dieu le Père.
En allant à la rencontre de Jean, Jésus l’encourage et reconnaît sa mission.
Lui aussi avait décidé de commencer une vie nouvelle, car jusque-là, Il avait une vie cachée.

Avec le baptême de Jésus, le ciel s’ouvre et Dieu sort de son silence. Il vit l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe sur Lui, et des cieux, une voix disait : « Celui-ci est mon Fils bien aimé, en Lui J’ai mis tout mon amour ».

Pour vous également, le jour de votre baptême, la Parole de Dieu est entrée dans votre vie, tout comme la voix du Père s’est faite entendre pour Jean Baptiste et ses disciples.
Cette parole du Père change tout pour Jésus !
Il ne retourne pas dans son village de Nazareth, Il va au désert et ensuite parcourt villes et villages pour annoncer la Bonne Nouvelle, la venue du Royaume de Dieu.
Fils de Dieu, le nouveau baptisé n’est pas seulement Jésus de Nazareth, Il n’est pas un prophète parmi d’autres, Il est Dieu Lui-même venu chez les hommes...
C’est bien là une manifestation de la Trinité, une révélation de la Vérité Éternelle, qui scelle le départ de Jésus pour la mission d’évangélisation.

 A travers la vocation propre de Jésus, c’est vous tous qui êtes appelés et rejoints par la même parole de Dieu, appelés à entrer avec Lui dans la création nouvelle, celle d’un Royaume à bâtir ensemble sur la paix et la justice, sur l’amour, le partage, la fraternité.
Vous êtes tous nommés en Jésus à devenir fils et filles de Dieu, à entrer dans son grand mouvement de renouveau qui trouvera sa réalisation dans la vie éternelle.
Par le baptême de Jésus, c’est votre vocation à vous qui vous a été donnée à votre baptême !
Au jour de votre baptême, sur vous l’Esprit Saint est également descendu, sur vous aussi le Père a dit : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en lui J’ai mis tout mon amour ».
Le baptême que vous avez reçu a fait de vous des enfants de Dieu.
Ce n’est pas une image, c’est la réalité !
La vie du baptisé, celle qui coule dans vos veines, est divine, céleste et éternelle...
 Bien sûr, il vous appartient d’éviter le péché et de vous convertir.
 Si le baptême donné par Jean a d’abord un sens pénitentiel, la réception de ce baptême par Jésus marque l’inauguration d’une étape nouvelle. Jésus appelle bien plus qu’à la pénitence. Il invite à rentrer dans le Royaume de Dieu.
 Pour approfondir le sens de votre propre baptême, méditez le baptême de Jésus, c’est un événement d’apparence banal, mais qui vous mène plus loin que vous ne le pensez.
Vivre votre baptême doit révéler à vous-mêmes quelque chose de Dieu qui est pour Lui et qui est en vous et pour vous.
Ainsi marqués de l’Esprit Saint, vous devenez enfants de Dieu par adoption...
Avez-vous réellement saisi que le baptême vous engage à vivre comme Jésus ?
Le baptême implique des responsabilités, entre autres de faire de l’Évangile la règle concrète de votre vie. C’est un appel et un engagement à vivre dans l’amour.
 Écouter la voix du Père, c’est écouter la voix de votre cœur ; à partir de ce moment, tout a radicalement changé pour Jésus, pour vous, pour tous les humains. 

 Jean messager d'Espérance "

Mort et naissance

Chers amis en Jésus et Marie,
 Notre bien aimé Jean nous rappelle que la vie est fragile et que notre passage sur terre est si bref !
A cet effet, il est bon d’accueillir le mieux possible la vie telle qu’elle se présente, faire le bien et vivre dans l'espérance...
 Avec toute notre affection et en union de prières
 Yvette et Robert

Livre Tome 7 : Choisir l'Amour de Dieu
A la page 92 : Mort et naissance - Message du 6 février 2012 - 
Et à la page 93 : Elle est bien une nouvelle naissance - Message du 18 octobre 2011-

Mort et naissance

Dans le cadre normal de leur existence terrestre, en général, les hommes pensent être dans le vrai et font un absolu auquel tout doit se conformer.
Ainsi, ils se sentent forts, puissants ... La vie qu’ils partagent les uns avec les autres, en famille, est faite de rencontres, de la joie d’être ensemble.
Cette vie est si puissante et, en même temps, tellement fragile devant la mort ! 
Ainsi, quand la mort survient, elle est ressentie comme un scandale ; aussi il peut paraître légitime de vous poser des questions, et peut-être même de douter de Dieu.
 Ce sera surtout le fait de ressentir le sentiment d’une énorme injustice, cette souffrance face à un départ qui n’aurait pas dû être.
C’est une rupture brutale et sans appel, et la vie dans certains cas peut se retrouver déconstruite... C’est alors qu’advient une perte d’identité qui peut entraîner une insécurité de tout un être.
 Les valeurs sont alors remises en questions, les repères sont perdus, les relations elles-mêmes peuvent être affectées et la santé peut chanceler, et même la maladie intervenir.
La mort doit rappeler combien la vie, votre vie, est fragile et votre passage sur terre si bref...Si la vie est fragile, elle est d’autant plus précieuse !
A cet effet, il est bon d’accueillir le mieux possible la vie chaque jour telle qu’elle vous est offerte.
 Choisir l’espérance au lieu du désespoir, c’est le sens de l’héritage que vous laisse celui qui vous a quittés.
Et honorer sa mémoire, c’est accepter malgré tout de croire et d’espérer, croire que la vie a le dernier mot, croire que ceux qui se sont endormis, Dieu les emmènera avec son Fils.
   En saisissant la vie qui vous est offerte à chaque instant, vous entrez déjà mystérieusement dans cette promesse.
 Avant sa Passion, Jésus a pris un repas en communion avec ceux qu’il aimait.
Ce repas n’était pas un moment fermé... Vous y êtes tous invités si vous désirez partager cette communion. La communion dans l’amour avec tous ceux avec qui vous avez construit une relation, présents et absents, visibles et invisibles, par-delà le temps et les frontières....
 De cette communion peut venir la force de se tenir debout, aujourd’hui et demain.
 Ouvrez vos cœurs les uns aux autres, ne retenez pas vos élans d’amour les uns pour les autres, profitez de chaque occasion que la Vie vous donne pour aimer et vous laisser aimer. 

 Elle est bien une nouvelle naissance !

 En lisant et en méditant certains passages de la Bible, vous comprendrez mieux que la mort n’est pas injuste et qu’elle n’est pas un point final, mais que tout simplement, elle est un passage.
 Le livre de la sagesse dit bien : « Dieu n’a pas fait la mort et il ne prend pas plaisir à la perte des vivants, car il a créé tous les êtres pour qu’ils subsistent ».
Le Seigneur Jésus lui-même déclare solennellement : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra jamais ».

 Les angoisses qui peuvent vous tourmenter devant la question de la mort sont inévitables, la mort est pourtant programmée en votre corps. Pensez qu’au mercredi des cendres, il vous est rappelé que vous êtes poussière et que vous retournerez en poussière.

 Vous devez vivre dans la foi et l’espérance qui transfigurera toute votre vie présente et vous aidera à surmonter toutes les épreuves et contradictions de ces temps qui vous écrasent...
 Si, en effet, vous êtes accablés par le deuil d’une personne qui vous est chère ou même si vous avez perdu toute espérance devant la maladie, vous pourriez penser que le Seigneur est absent.
 Mais le Seigneur n’est jamais absent dans votre vie, Il est bien là et se laisse toucher par tous vos problèmes et misères !
C’est d’un amour si grand qu’Il vous enveloppe...
 
Pensez qu’Il a pleuré devant la douleur des sœurs de Lazare ! Voilà pourquoi Il ressuscite Lazare, pour vous rassurer que la vie présente n’est pas l’antichambre de la mort, mais celle de la Cité des cieux où vous partagerez éternellement la vie même du Seigneur Dieu...
Si vous marchez à la suite de Jésus, soyez certains qu’Il vous conduira au vrai bonheur !
Et cette espérance doit se manifester dans votre comportement.... Ainsi, les soucis de la vie présente ne pourront vous atteindre.
Et vous donnerez, à ceux que vous rencontrerez, l’envie de chanter le Seigneur, de Le louer, d’espérer et de croire ....

Jean, votre messager d’Espérance"
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Sainte Germaine

Bien chers amis en Jésus et Marie,
  Le lundi 15 juin 2015, à Pibrac, nous fêterons Germaine, notre Sainte de Toulouse. En 2006, Jean avait donné le message ci-dessous. De plus, vous trouverez en page "Prières" un chapelet qui nous a été inspiré et qui retrace les points essentiels de son existence. Nous vous en souhaitons bonne réception. 
Avec toute notre affection et en union de prières. 
Yvette et Robert

 Livre Tome 5 : En route vers la Jérusalem céleste
 Page 157 : Sainte Germaine -  Message du 15 juin 2006 -

" Si vous vous posez des questions sur les mystères du choix de Dieu, sachez qu’ils concernent en premier l’humilité et la disponibilité. 
L’exemple, vous l’avez en sainte Germaine qui était une humble bergère rejetée par sa famille mais aimée des enfants et des pauvres auxquels elle savait si bien faire connaître Dieu. Et toujours elle faisait son maximum pour assister à la messe matinale.
 Quand une âme est vraiment choisie, elle est prédestinée à cause de sa soif à aider son prochain et ainsi à tout donner entièrement à Dieu. 
Et c’est toujours Dieu qui sait, qui appelle et qui sauve !
Germaine n’a pas été choisie pour sa fortune, ses dons de la parole, de l’art ou de la culture, ni par la place qu’elle occupait dans la société. Dieu l’a choisie, car Il a sondé le fond de son cœur et a vu en elle un grand désir et l’humilité qui lui ont permis de la diriger pour faire « de grandes choses ». Oui, de grandes choses...
N’est-elle pas la sainte de Toulouse ?
 Les saints ont un point commun : ils aiment les hommes et mettent tout leur espoir dans le Christ, c’est-à-dire qu’ils ne cherchent le succès, la valeur et la récompense uniquement qu’en Dieu !
 Jésus Sauveur devient leur sagesse pour vivre en eux Sa sainteté de Fils...
 Pour celui qui est choisi, les chemins ne sont jamais faciles et même parfois fort déroutants. Ces choisis entendent dans leur cœur des pourquoi douloureux, « pourquoi moi ? » et souvent ils se demandent s’ils possèdent toute leur raison...
  Sur les chemins de leur service ils sont mal considérés, écartés de leurs amis, de leurs parents et passent même pour des demeurés... Leur mission dérange le Griffu, aussi subissent-ils sans cesse les assauts des mauvais esprits qui cherchent par tous les moyens à les faire chuter...

 Ceux qui sont prédestinés sont comme des voyageurs et des gens de passage.
En réalité où peut se situer leur vraie patrie ?
Ce n’est ni le lieu qui les a vus naître, ni le lieu où leur cœur a gardé ses racines.
Ce ne sont pas non plus les haltes de leur exode sur terre, aussi accueillantes et fraternelles soient-elles.
A quelque endroit qu’ils se trouvent, ils servent Dieu en aimant ceux qu’Il aime et chaque jour ils vivent pour la gloire de Dieu et le salut du monde.
Leur vraie patrie, en réalité, c’est le pays de la gloire, où Dieu sera tout en tous.

Vous constaterez qu’ils ne sont pas parfaits !
Tout comme la chenille, ils abandonnent leurs péchés, leurs erreurs, leurs fautes et leurs déplorables habitudes pour petit à petit se métamorphoser en papillon. 
Ainsi ils font comme l’athlète qui prend part à une course ; il peut leur arriver de trébucher et de tomber mais ils se relèvent aussitôt pour s’élancer vers le but sans examiner l’endroit de la chute ou déplorer la maladresse ....
 Jésus insiste à propos de Ses brebis : « Mon Père qui me les a données est plus grand que tout.» Elles sont le cadeau du Père à Jésus. Mais elles sont en même temps celles que Jésus donne à Son Père.
Ces brebis, ces choisis sont à la fois dans la main du Père et dans la main du Fils ; chacune de ces deux mains les donne et les reçoit, et l’Esprit qui les joint leur donne part au mystère de cette unité qui est tout le bonheur de Jésus : « Le Père et moi, nous sommes un ».
Tout comme la douce Germaine soyez les serviteurs toujours modestes, doux et humbles de cœur et vous gravirez plus aisément les sommets de la vie...

 Jean, messager d'Espérance "
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Communion Eucharistique

Bien chers amis en Jésus et Marie,
Par ce message, le bien-aimé Jean nous rappelle que la Sainte Eucharistie est la plus grande, merveilleuse et intense communion que nous avons la grâce de vivre avec le Christ. De même, dans l’adoration du Saint Sacrement, nous prendrons tout notre temps pour nous laisser pénétrer par toute la vie eucharistique.
 Affectueusement et en union de prières
Yvette et Robert

 Livre Tome 6 : Pour bien passer la porte du Ciel
 Page 117 : Communion eucharistique et adoration du Saint Sacrement - Message du 3 juillet 2008 -

 Première épître aux Corinthiens 11, 25-26 : De même, après le repas, il prit la coupe, en disant : « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang. Chaque fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi. » Chaque fois en effet que vous mangez de ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.

" En vous rassemblant pour célébrer l’Eucharistie, vous êtes unis par l’Esprit de sainteté et d’amour en formant tous ensemble le Corps du Christ.
 Dans l’assemblée eucharistique, votre prière devient la propre prière de Jésus, la prière de Son Corps qui est une prière plus forte, plus efficace. Le Christ est également présent dans Sa Parole, celle que vous écoutez dans la lecture de l’Évangile qui est la Parole actuelle et si présente du Christ ressuscité et toujours vivant. Prenez bien conscience que, dans le service de ses frères, le prêtre tient la place du Christ, par amour pour eux et dans l’amour du Seigneur, plus spécialement quand il célèbre le souvenir de son dernier repas. Il est certain que la communion eucharistique est la plus grande et intense communion avec le Christ.
Vous avez également la possibilité de vénérer le Seigneur dans l’Adoration eucharistique. Dans l’Adoration, vous pouvez prendre votre temps et vous laisser pénétrer par la vie eucharistique qui se diffusera dans les profondeurs de votre personne par la méditation de la Parole de Dieu et par la présence bien réelle de Jésus dans le Saint Sacrement.
Il y a différentes manières de vivre l’adoration eucharistique...
Le regard que vous portez sur les choses et sur les êtres change votre relation avec eux ; pensez aux malvoyants dont la privation de la vue transforme la manière d’entrer en relation !
 Entendre quelqu’un, penser à quelqu’un, regarder quelqu’un ne sont pas des actes identiques.
Quand vous contemplez le Christ dans Son Eucharistie, par votre vision vous sentez pénétrer tout Son Amour.
 En effet, devant le Saint Sacrement exposé, il est bon de Le regarder, de bien Le regarder et de Le laisser illuminer l’œil de votre cœur...
 Puis en cessant de Le regarder, vous laisserez Sa Présence occuper votre esprit et votre cœur...
 A cet instant, vous L’accueillerez en Le laissant venir en vous ... et c’est en profondeur que vous recueillerez Sa Miséricorde, Sa force, la puissance de Son action de salut ..., que vous ressentirez en vos cœurs toute la force de Son Esprit.

Alors vous ne direz rien, ne verrez rien pour accueillir le Christ présent ....
Quand vous Lui parlez à voix basse ou par votre voix intérieure,
vous Lui dites des choses que vous ne dites jamais à personne...,
vous Lui exposez vos prières,
vous intervenez pour ceux qui vous sont chers, ceux qui vous mettent à l’épreuve,
vous priez pour tous ceux qui sont en danger et ont besoin d’être secourus.
Alors vous vous offrez sans réserve en laissant Son regard transpercer les ténèbres de votre cœur et toucher en vous ce qui est la blessure du péché.
Le silence est très important, il n’est ni la vision, ni l’accueil, ni votre parole, mais l’épreuve de la foi...
Vous Le regardez, Le recevez, L’écoutez et Il est tout pour vous...
Restez devant Lui longtemps dans le silence, laissez-Le vous pénétrer....
Il peut y avoir en vous une lutte entre l’esprit de la foi qui reconnaît Jésus vivant en l’Eucharistie et l’esprit d’incrédulité qui se laisse détourner de cette vision en refusant de Le reconnaître. 
Ce combat est dans bien des cœurs et c’est ainsi que vous êtes confrontés à la question de la foi : vais-je être assez fort dans le combat, avec Lui ?
Ou alors, comme Pierre, serai-je poussé à Le renier et à m’enfuir, envahi par la peur ?
Réjouissez-vous en songeant aux merveilles qui vous sont offertes et soyez cette maison bâtie sur le roc que le Seigneur vient habiter, pour qu’avec Lui vous preniez la direction de la Jérusalem céleste.

 Jean, votre messager d’amour "

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