Ne jugez pas

Très chers amis en Jésus et Marie,
Comme nous le rappelle notre bien-aimé Jean, nous devons maitriser nos sentiments en évitant de juger et en nous soumettant au Seigneur Dieu. 
Avec toute notre plus grande affection et en union de prières
Robert et Yvette

Livre Tome 5 : En route vers la Jérusalem céleste
Page 110 : Ne jugez pas - Message du 16 janvier 2006 -
 " Il n’est pas raisonnable de vous placer en juge, c’est-à-dire de vous substituer à Dieu qui seul peut apprécier la culpabilité d’une personne.
Pour pouvoir juger sainement un individu, il faudrait d’abord tout savoir de lui :
 -le milieu où il a vécu,
 -l’éducation qu’il a reçue,
 -les influences qu’il a subies, 
 -l’histoire de son intelligence et de son cœur ainsi que l’héritage de sa généalogie.
D’aucune manière vous n’êtes en mesure de tout savoir !
Mais les hommes croient tout savoir et bien souvent, ils sont loin du compte. Parce que vous voyez vivre des frères ou des sœurs, vous pensez avoir suffisamment de lumière pour les classer ou les cataloguer. Or vous ne pouvez pas être lucides sur les autres tant que vous êtes aveugles sur vous-mêmes, vous estimant sans défaut ...
La paille et la poutre
 Quand Il vous parle de la paille et de la poutre, Jésus écarte d’un mot toutes vos illusions. Instinctivement les hommes se donnent le meilleur rôle, ils s’avancent avec le coin d’un mouchoir pour délivrer leur voisin de sa poussière dans l’œil. En fait, ils ne font qu’ajouter aux souffrances des autres : leurs propres misères, qui les aveuglent, rendent leur mouvement qui se veut libérateur fort maladroit. Vos jugements sont toujours proportionnés non seulement à vos lumières mais également à vos ténèbres, et la sévérité de Dieu sera proportionnée à la vôtre ...
Quand vous paraîtrez devant Lui, le Seigneur vous dira : « Ton esprit, combien pèse-t-il ?», et Il jaugera votre poids avec vos propres mesures. 
Au fond, si vous voulez éviter toute mauvaise surprise, le plus sûr et le plus simple est d’emprunter à Dieu Sa balance, pour la Lui rendre au bon moment. 
Mais la mesure de Dieu n’est pas facile à manier, elle ne porte ni chiffre ni marque et elle est infiniment élastique !
Elle a un nom : Miséricorde
Vous comprenez ainsi que vous devez maîtriser vos sentiments en aimant votre prochain comme vous-même et surtout éviter de le juger, mais vous en remettre à Dieu.
En vous soumettant à Dieu vous résistez au diable, et il fuira loin de vous.
Le nom de Dieu est Miséricorde
Pour tout cela évidemment la foi est indispensable. Il ne s’agit pas seulement de croire que Jésus-Christ est le Fils de Dieu venu sur terre pour vous sauver, mais le considérer comme votre Seigneur et Sauveur. 
 Ce que vous prescrivez aux autres, il vous appartient de l’accomplir ; vivez réellement ce que vous dites et évitez de chercher à paraître. Chercher à paraître est encore une manière discrète de dominer autrui et même de le juger.
Gardez toujours un cœur libre pour aimer en vérité votre prochain donc être digne de servir Dieu. Oui, servez Dieu dans l’humilité en conformant le plus possible vos actes à vos paroles, vos attitudes vécues à vos convictions affirmées !
C’est à ce prix que passe et grandit la vérité, c’est l’authenticité de ce qui est vivant au fond de votre être qui permet à la Parole vécue, d’être réellement entendue et crue.
 Même si vous dites vous moquer des places, des rangs, des titres et des salutations, vous êtes toujours assez contents d’être estimés, appréciés et reconnus pour ce que vous êtes... Allez !
Ce n’est pas tellement fréquent que le plus grand parmi vous se fasse le serviteur des autres !
La Parole de Dieu, pour être annoncée, a besoin d’hommes humbles et miséricordieux. 
Soyez de vrais serviteurs de Dieu ! 

Jean messager de la Lumière "

Le Royaume de Dieu est sur terre

Bien chers amis en Jésus et Marie,
En vue de la vie future en Dieu, vous avez à .vivre le plus saintement possible. Comme le dit notre bien-aimé Jean, les fruits que vous aurez dispensés sur terre vous les retrouverez plus tard au Ciel, illuminés et transfigurés.. 
Avec toute notre plus grande affection et en union de prières
Robert et Yvette

Livre Tome 5 : En route vers la Jérusalem céleste
Page 24 : Le Royaume de Dieu est sur terre -Message du 16 février 2005-

" Vous comprenez bien que chacun de vous doit selon ses sensibilités œuvrer pour le Royaume de Dieu. Même si des malheurs vous accablent, le monde futur ne vous appelle pas à démissionner du présent de votre existence, mais de vous tourner résolument vers l’avenir.
 Au cœur de vos vies s’entrecroisent deux mondes, le monde présent, si passager, limité, marqué par la décadence et le péché, et l’autre monde, Royaume de l’infini et du toujours, qui est le monde futur vers lequel vous vous dirigez, cela en passant évidemment par une purification essentielle.
Vous êtes citoyens de ces deux mondes...
Vous êtes déjà dans l’éternité car il n’y a pas d’interruption entre les deux mondes, si ce n’est ce petit passage obligatoire auquel personne ne peut échapper.
Le présent et le futur accomplissent la continuité entre la réalité actuelle et la plénitude future.
Ce sont les deux bouts de la chaîne que vous devez tenir et cela sans jamais les faire jouer l’un contre l’autre.
Il s’agit de vivre votre présent en vue de votre vie future en Dieu mais il s’agit surtout de le vivre à partir de ce futur. En considérant ce futur de la vie éternelle, vous saurez mieux appliquer au présent de votre existence la règle de votre foi, par une conduite plus juste.
... cela selon les commandements du Seigneur ...
Une fois dans l’éternité vous vous demanderez : Comment ais-je pu vivre une relation avec telle personne, tout comme cette situation de travail ? Ces questions, posez-vous-les dès aujourd’hui, elles ne sont pas inutiles car elles vous incitent à vivre davantage dans la charité. Parce que effectivement, même si la face de votre monde passe, « la charité et les œuvres de Dieu demeureront à jamais ».
Par tous les fruits que vous aurez propagés sur terre, autant dans votre devoir d’état que spirituellement et cela selon les commandements du Seigneur et dans Son Esprit, vous les retrouverez plus tard illuminés, transfigurés, et alors quel incomparable bonheur vous en ressentirez !
L’expression Royaume des Cieux ne signifie pas que le Royaume est situé dans les cieux et donc ailleurs qu’ici, mais bien ici, car il appartient à Celui qui est aux Cieux. 
Vous faites parti du Royaume de Dieu, aussi comprenez que le Royaume ne peut être une place ou une chose en dehors de votre vécu.


Deux mille ans d’histoire démontrent que le Royaume ne peut pas se vivre totalement dans vos systèmes actuels, vos systèmes ne sont pas parfaits...
Il suffit seulement de voir tous les problèmes qui se posent à chaque personne, à chaque communauté pour entrer dans l’œcuménisme et que tous marchent ensemble.
Il est essentiel que vous changiez au plus profond de vous-même ce qui doit l’être afin que le plan de Dieu puisse s’accomplir dans votre monde, ici et maintenant. Il est triste de constater que dans la société humaine il y a toujours des façons de faire et de penser qui bloquent la justice telle que Dieu la conçoit.
Reprenez l’Évangile qui vous enseigne que le Royaume de Dieu est tout proche.
Comment accueillez-vous cette affirmation ?
Au vu de votre monde en division, comment réellement pensez-vous amener le Royaume de Dieu, c’est-à-dire un monde de paix, de justice et d’amour ?
C’est par votre comportement exemplaire et vos prières ferventes que vous y parviendrez.
Sachez que les belles images de paix, de justice et d’harmonie que les prophètes annonçaient ne sont pas des utopies pour votre monde, Dieu les réalisera à travers vous dans ce monde où vous êtes déjà !

 Jean, messager d'amour "

L'Ascension

Marie soutien des apôtres ... nous soutient aussi !
Bien chers amis en Jésus et Marie,
Dans son enseignement, le bien-aimé Jean confirme que l' Ascension ouvre l'espace d'une espérance. Après la résurrection de son fils, la sainte Vierge Marie est restée sur terre pour accompagner et soutenir les disciples, et cela dans l’attente confiante du don de Dieu et dans l’inspiration de l’Esprit Saint. 
 Avec toute notre plus grande affection et en union de prières
 Robert et Yvette

Livre Tome 7 : Choisir l'amour de Dieu
Page 155 : L’Ascension - Message du 17 mai 2012 -

"A l’Ascension de son Fils, la Sainte Vierge Marie, avec son cœur de maman, ne désirait qu’une seule chose au monde : être avec Jésus, son Enfant bien-aimé.
Son cœur de Maman a ressenti, malgré tout, une immense joie du fait qu’avec sa chair et son sang, son très cher enfant soit élevé à la droite du Père, de façon mystérieuse, mais bien réelle.
C’est bien pour obéir à son Fils qui, au pied de la croix, lui a demandé d’être la Mère de l’Eglise, qu’elle est restée sur terre. Elle avait la mission d’accompagner et de soutenir les disciples, cela dans l’attente confiante du don de Dieu et dans l’inspiration de l’Esprit Saint.
Les disciples du Christ ont ainsi témoigné de la Bonne Nouvelle, jusqu’aux limites de la terre.
Et jusqu’à leurs dernières forces, dans leur mission d’évangélisation, ils ont agi de tout leur cœur dans l’amour de Dieu !
 Vous avez à prendre une part active à la mission de l’Église et rendre le Christ Jésus présent dans le monde, en proclamant l’Évangile, en faisant adhérer les hommes à la foi de l’Église.
Comme la Sainte Vierge Marie, vous êtes surtout engagé dans une entreprise qui risque de rester inachevée si vous ne mettez pas toute votre bonne volonté pour faire naître, en vos frères humains, la vie de Dieu ! 
Certes, vous n’êtes pas les maîtres de cette œuvre car seul l’Esprit Saint peut la réaliser et cela à travers votre entière disponibilité ; ainsi, Marie, l’humble servante du Seigneur, est devenue la Mère de Dieu par la puissance de l’Esprit Saint, à qui elle s’est offerte entièrement pour l’Éternité. 
La fête de l’Ascension du Seigneur doit vous rappeler, de manière particulière, le commandement du Seigneur Jésus à ses disciples, d’aller jusqu’aux limites de la terre.
O Marie conçue sans péchés priez pour nous ...
Cette invitation, vous devez la réaliser en défendant L’Église, qui est Marie, et, également, en votre propre âme, qui, inlassablement, est menacée par le Griffu. Ce qui s’oppose réellement à lui et au mal, ce ne sont pas vos discours car il sait en faire ; il sait même se servir de la parole de Dieu, comme il le fit avec Jésus au commencement de sa mission, lors des tentations au désert.
Demandez à la Sainte Vierge Marie d’augmenter en vous la disponibilité à suivre l’Esprit Saint qui est présent dans votre cœur et qui seul peut transformer votre vie, afin que vous aussi deveniez dignes de participer, avec tous les saints, à la gloire éternelle du ciel, là où le Seigneur Jésus est monté vous préparer une place.

 Jean, votre messager d’Espérance"

Accepter l'autre tel qu'il est

Bien chers amis et amies en Jésus et Marie,
Dans chaque visage, de quelque race, culture ou religion qu’il soit, le Seigneur Dieu est toujours présent. Comme nous le suggère notre bien-aimé Jean, Il peut nous intercepter, nous déstabiliser, nous dérouter parfois, mais toujours pour notre plus grand bien.
Avec notre plus grande affection et en union de prières. 
Robert et Yvette
 
Livre Tome 5 : En route vers la Jérusalem céleste
Page 233 : Accepter l’autre tel qu’il est - Message du 11 avril 2007 -

 " La diversité des races, des cultures et des religions est la particularité du peuple de Dieu. 
Quand vous n’êtes pas directement touchés, vous êtes tous d’accord pour reconnaître et défendre cette diversité .... Mais quand vous êtes réellement concernés, êtes-vous logiques pour accepter chez l’autre cette diversité ?
Vous avez tous plus ou moins de difficultés à admettre que l’autre par rapport à vous, puisse se comporter d’une manière différente, qu’il ressente les choses et les problèmes autrement, que ces problèmes soient matériels, moraux ou surtout spirituels !
 Il est évident que bien souvent l’autre c’est l’inattendu, l’imprévu dans les événements...
Ne vous sentez-vous pas parfois agacé, et même contrarié ?
Cette attitude d’agacement face à celui qui vous déplaît ou à un événement dérangeant est en contradiction avec votre qualité de chrétien.
Dieu n’est-il pas toujours l’autre, infiniment différent, et Il ne peut vous rejoindre que de façon toujours fortuite.
Votre préoccupation principale devrait se porter sur la recherche du visage de Dieu. 
Dieu demeure toujours caché dans chaque visage, dans chaque événement, dans chaque parole ou lecture.
Vous devez Le chercher, L’attendre, en sachant que toujours Dieu vous intercepte, vous déstabilise et même vous déroute parfois, mais toujours pour votre plus grand bien !
 Ne considérez pas Dieu logiquement présent au bout de vos projets et de votre recherche, ce ne serait plus Dieu que vous rencontreriez mais une idole que vous vous seriez fabriquée à votre mesure.
Attendez-vous toujours à ce que Dieu bouleverse vos plans, vos prévisions, vos décisions !
 Et pour mieux L’accueillir, donc accueillir l’autre, vous avez à développer votre liberté, votre disponibilité, votre accueil de l’inédit, votre ouverture à l’inattendu ...
L’autre vous y aidera, car lui aussi, comme vous, est différent, inattendu : c’est en cela que consiste la diversité !
Il peut vous arriver de parler longuement avec une personne sans vraiment la comprendre, de même vous faites face à beaucoup de faits qui ne deviennent pas pour vous des événements.
L’événement est l’irruption de l’imprévisible, pour avoir lieu il demande votre vigilance et votre réponse.
La peur de l’imprévu vous empêche de regarder l’inattendu avec objectivité. 
Évitez de commencer par juger ou condamner a priori, qu’il s’agisse d’un oubli, d’un retard, d’une erreur ou encore d’un accident ...
 Acceptez l’autre tel qu’il est, écoutez-le, écoutez-le en vérité et déjà l’autre se sentira accepté. 
Il faut commencer par écouter pour être sûr qu’on accepte l’autre tel qu’il est et non tel qu’on voudrait qu’il soit.
Car si l’homme n’écoute pas, il peut se créer de grandes déceptions : c’est très fréquent dans les couples, de même que pour des personnes sur lesquelles vous devez compter.
Découvrir que l’autre n’est pas tel que vous vous l’imaginiez peut provoquer une crise grave ou constituer une découverte trop tardive...
Ce qui est vrai de l’acceptation de l’autre l’est aussi de l’acceptation des événements.
S’agacer, se fâcher, crée un barrage à l’amour ; c’est aussi un gaspillage d’énergie qui suscite de la fatigue, affecte le sommeil, supprime l’appétit.
A quoi peut servir de refuser un fait ?
Vous ne le changerez pas.
Il est là qui s’impose. 


C’est à vous de changer, non seulement pour vous y adapter, mais pour l’accepter et le faire servir à la construction de votre vie.
C’est ainsi que vous pouvez devenir événement pour vous-même !
Affectueusement et en union de prières. 

Jean, messager de la lumière "

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